CR sept. 2005

Publié le 9 septembre 2005


Conférence des directeurs



Conférence des directeurs d’IUFM

8 et 9 septembre 2005

Mérignac (IUFM d'Aquitaine)

Compte rendu




A noter la présence de : M. Jacques Ginestié, en instance de nomination à la fonction de directeur de l’IUFM d’Aix-Marseille ; Mme Christine Jourdain, directrice adjointe auprès de M. Gilles Baillat (excusé pour raisons de santé).

A noter également qu’au terme des travaux de la conférence, une cérémonie honorera la fin des mandats de directeurs de MM. JJ Dupin (Aix-Marseille) et de G. Gonfroy (Limoges). Une seconde cérémonie aura lieu en octobre ou en décembre 2005 pour honorer le départ de MM. R. Ph. Garry, J. Pelous, JP Sanfourche.

1- Discours de bienvenue de Monsieur William Marois, Recteur de l’Académie de Bordeaux

  • L’Académie de Bordeaux

Monsieur le Recteur introduit son propos par une présentation de l’Académie de Bordeaux. Il évoque une vaste académie, comprenant cinq départements, dont trois de grande taille (la Gironde, la Dordogne, les Landes) et comptant 57 000 personnels et 650 000 élèves. Il souligne l’importance de la somme accordée à l’éducation dans cette académie (2 milliards d’euros, soit 5,5 millions d’euros chaque jour). Plusieurs traits caractéristiques sont définis pour présenter l’Académie :

  • une forte croissance démographique, marquée par une nette accélération au cours des dernières années, avec un taux de croissance annuel de 0,96%, ce qui place l’académie de Bordeaux au troisième rang national, derrière le Languedoc Roussillon et la région Midi Pyrénées (taux national : 0,47%). Sur le plan scolaire, l’augmentation globale des effectifs se caractérise par 2000 élèves supplémentaires chaque année, en particulier dans le premier degré ;

  • une volonté forte de développer l’enseignement à caractère professionnel ;

  • de bons taux de réussite aux examens, en particulier concernant le brevet des collèges, le CAP, les baccalauréats technologiques et professionnels, les BTS.

  • un tissu universitaire marqué par la mixité (présence de cinq universités, des antennes universitaires dans chaque département) ;

  • un projet de coopération renforcé de PRESS;

  • une importance particulière accordée au décrochage scolaire, au suivi des élèves primo-arrivants, etc...



    • Dossier d'actualité : l'intégration des IUFM dans les universités

Le Recteur William Marois présente à la Conférence des directeurs d’IUFM sa vision personnelle de la situation. Selon lui, l’intégration des IUFM dans les universités ne modifiera pas le fonctionnement des instituts.

  • Les IUFM conserveront la même mission : la formation professionnelle des enseignants. Il rappelle que l’enseignement est un métier, qui implique non seulement de recevoir une formation didactique et pédagogique mais également de bénéficier d’une information sur les évolutions des instructions officielles (l’enseignement des langues vivantes et l’enjeu particulier de cet enseignement dans le premier degré nécessite par exemple actuellement un accompagnement spécifique des futurs enseignants). Il souligne qu’à partir de la rentrée 2005/2006, l’enseignement des langues vivantes dans le premier degré sera généralisé au cycle 3 (CE2, CM1, CM2) et qu’en 2007, les CE1 seront également concernés par le dispositif.

  • Les IUFM conserveront le caractère pluri-professionnel de leurs équipes de formateurs (enseignants, de différents statuts, personnels sur emploi à service partagé, etc.)

La mise en œuvre de loi implique une réflexion autour de deux axes : le champ de la pédagogie (offre de formation, mise en place de diplômes avec les masters, volet recherche) et le champ institutionnel. Le groupe de travail constitué par le ministère a vocation à travailler sur ces deux points. Des propositions ont été avancées par la CDIUFM. Le Recteur Marois rappelle que le Directeur de l’enseignement supérieur est à l’écoute des IUFM. Concernant les prochaines étapes, il indique qu’il s’agit désormais de rédiger le cahier des charges, qui fera ensuite l’objet d’un avis du Haut Conseil de l’Education, la phase suivante consistant à choisir l’université d’accueil (ce qui implique une grande complexité dans certaines académies). Selon le Recteur, le calendrier de l’intégration est directement lié à la publication du cahier des charges, sans laquelle aucun appel d’offres ne peut légitimement être lancé ; il rappelle que la date buttoir de l’intégration est fixée à avril 2008 et indique que, pour l’heure, aucune discussion n’a été engagée dans l’académie de Bordeaux entre universités et IUFM. Il conclut son intervention en précisant que le pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) n'est pas envisagé comme un outil permettant cette intégration.

2- Ouverture des travaux de la conférence

Le président de la CDIUFM, Jacques Durand, ouvre la Conférence en évoquant, au-delà des autres drames qui caractérisent l’actualité depuis plusieurs semaines, le drame de la Martinique. En pensant aux familles des personnels et des usagers, il adresse au directeur de l’IUFM de la Martinique un message de soutien au nom de l’ensemble des directeurs d’IUFM.

  • Présentation des nouveaux directeurs d’IUFM 

  • M. Bernard VALADAS, IUFM du Limousin (23ème section CNU - Géographie physique, humaine, économique et régionale) – Prise de fonction : 1er septembre 2005

  • M. Paul BUSUTTIL, IUFM d’Auvergne (23ème section CNU - Géographie physique, humaine, économique et régionale) – Prise de fonction : 1er septembre 2005

  • M. Patrick DEMOUGIN, IUFM de Montpellier (9ème section CNU - Langue et littérature françaises) – Prise de fonction : 1er septembre 2005

  • M. Jacques GINESTIÉ, IUFM d’Aix-Marseille (70ème section CNU - Sciences de l’éducation) – Prise de fonction : 6 octobre 2005


    • Adoption du compte-rendu de la précédente conférence (30 juin / 1er juillet 2005)

Le compte rendu de la conférence des 30 juin et 1er juillet mentionnait (page 4) :

 

A l’issue du débat, un consensus semble se dégager autour de la nécessité d’adresser un courrier au Ministre faisant mention de quatre points essentiels :

  • les principes organisateurs de la formation des maîtres (cf. supra),

  • le cahier des charges (cadrage national de la formation des maîtres),

  • mise en place d’une phase expérimentale (ou première vague d’intégration des IUFM à l’Université) concernant trois IUFM,

  • mise en place d’une commission nationale de suivi chargée d’explorer les problèmes techniques liés à l’intégration des IUFM à l’Université.



Il est convenu de supprimer le troisième point, la mise en place d’une phase expérimentale pour trois IUFM n’ayant pas fait l’objet d’une décision consensuelle.


    • Réorganisation de l’équipe permanente de la CDIUFM

  • La diffusion d’une offre d’emploi pour un poste contractuel de chargé de mission Relations Internationales auprès de la CDIUFM est confirmée. Un profil de poste est distribué en séance (voir ci-dessous). Le poste fera ensuite l’objet, le cas échéant, d’une publication en vue d’un recrutement par voie de concours d’un ingénieur d’études (IGE BAP I Chargé de RI à la rentrée 2006/2007.




Chargé(e) de mission Relations Internationales

Définition de l’emploi

Le collaborateur recruté sera chargé, sous l’autorité du Président et du Bureau, d’assurer la mise en œuvre logistique et technique de la politique générale de la CDIUFM en matière de relations internationales.


Activités essentielles

  • Contribuer à l’animation des réseaux des 31 IUFM (circulation des informations, logistique, organisation des rencontres et réunions…)

  • Proposer, coordonner et/ou réaliser des réponses collectives aux appels d’offres internationaux (veille, liens avec les IUFM et les partenaires, aide technique aux réponses aux appels d’offres…)

  • Réaliser la constitution d’une banque d’informations (banque de ressources et de compétences) et veiller à sa maintenance

  • Assurer le suivi fonctionnel des partenariats institutionnels territoriaux et extra territoriaux

  • Valoriser les activités des IUFM en matière de relations internationales, en lien avec la mission communication de la CDIUFM (Portail des IUFM…)

Compétences et formation

  • Une expérience professionnelle à l’étranger, dans le domaine de la responsabilité en formation d’adultes et/ou de la participation à l’élaboration ou à la réponse aux appels d’offres est souhaitée ainsi que la maîtrise de l’anglais.

  • Condition de diplôme : minimum licence



  • Mme Danièle Dobler, professeure agrégée d'allemand, conseillère pédagogique auprès de l’IUFM de Créteil et chargée de mission d’inspection auprès du Rectorat, a fait acte de candidature sur le poste laissé vacant par Dominique Ferragne (qui occupe désormais des fonctions auprès de l’AEFE). Sa candidature reçoit l’aval des membres de la Conférence. Sa prise de poste aura lieu une fois obtenu l’accord du Recteur.



  • Compte rendu des entrevues avec la DES

Le petit groupe constitué par le directeur J.M. Monteil afin de préparer le prochain travail du groupe institutionnel s’est réuni à la Direction de l’Enseignement Supérieur à trois reprises (9 juin 2005, 22 juin 2005, 11 juillet 2005) et doit se réunir une dernière fois le 14 septembre 2005.

Ce groupe est constitué de dix membres : M. Durand et M. Goursaud, directeurs d’IUFM ; M. Debouzie et M. Demailly, présidents d’université (respectivement à Lyon 1 et Amiens) ; M. Marois et M. Debene, Recteurs (respectivement dans l’académie de Bordeaux et de Rennes) ; M. Monteil, M. Korolitski, Mme Pochard et Mme Robin, au titre de la DES. M. Debene qui n’est plus recteur sera remplacé par le recteur Hardouin (académie de Nice).



Un compte-rendu de synthèse des travaux, rédigé par la DES, sera envoyé courant septembre aux membres de ce groupe de travail. Les directeurs d’IUFM en auront connaissance à ce moment-là. Il est rappelé que dans le cadre de l’intégration, ce sont bien les IUFM qui seront intégrés à l'Université et non la formation des maîtres qui restera de la compétence des futurs instituts.


Compte rendu de l’entrevue du 29 août avec le Cabinet du Ministre G. de Robien

Le cabinet qui a reçu, pour une première prise de contact, J. Durand et M. Altet, s’est présenté comme totalement ouvert aux propositions des directeurs d’IUFM à la condition que ces propositions induisent, dans le cadre de la mise en œuvre de la loi, des changements à coût constant. Dans leurs propositions, les IUFM sont invités à faire montre de la plus-value de la formation des maîtres en terme de professionnalisation. S’agissant des concours, il est indiqué que toute possibilité de modification est, dans le contexte actuel, impossible. L’accès à des moyens fléchés pour les IUFM est clairement confirmé.


Le calendrier de la mise en œuvre de la loi est évoqué comme devant suivre les étapes suivantes, dans un climat serein exempt de toute précipitation :

  • Création de deux commissions (une sur les aspects techniques et institutionnels, une autre sur la formation, les modalités, les volumes, etc.) chargées de travailler à la rédaction du cahier des charges national de la formation des enseignants. Date probable prévue pour la rédaction de ce cahier des charges : fin mars 2006

  • Soumission du cahier des charges à l’avis du Haut Conseil de l’Education (avril 2006)

  • Diffusion de l’appel d’offres aux universités.


Le cabinet invite les directeurs d’IUFM à dresser un inventaire de l’ensemble des problèmes induits par l’intégration afin que ces critères puissent être examinés avant la rédaction de l’appel d’offres. Une proposition émane d’un des conseillers techniques du cabinet : augmenter le nombre d'heures de pratique professionnelle des PLC2 (passer de 4/6 heures à 7 heures, par exemple) et rendre aux professeurs stagiaires cette heure supplémentaire lorsque ces derniers seront professeurs titulaires (publics T1 ou T2).


Cette proposition n’est pas jugée pertinente par la Conférence des directeurs d’IUFM, qui met en doute la faisabilité d’une telle démarche et s’interroge sur la perspective d’un étalement de la formation en aval (et non pas en amont avec le non changement de la place des concours). La composition du Haut Conseil de l’Education, dont les membres n’ont pas été encore arrêtés, est pressentie par la Conférence des directeurs comme un facteur important pour l’avancement du dossier. Le président formule le vœu que la composition de ce Haut Conseil soit la plus riche et la plus représentative possible.





  1. Echanges à propos de la mise en œuvre de la loi du 23 avril 2005 : situation à la rentrée dans chaque académie (Universités, IUFM, Rectorat)



Après un tour de table sur différentes situations académiques et au terme des échanges portant sur le calendrier et les modalités de l’intégration à l’Université, les directeurs s’accordent pour dire qu’il convient d'attendre la publication du cahier des charges national et l’avis du Haut Conseil de l’Education avant d’entreprendre toute négociation locale.

4- Orientation stratégique 



  • Formation

1er degré

Il est rappelé que les épreuves zéro du nouveau CRPE seront susceptibles d’être proposées en décembre 2005 et que les IUFM sont invités à proposer leurs contributions. S’agissant de la deuxième année, les changements induits par ce nouveau concours dans les années à venir doivent faire l’objet de réflexions pour la prochaine rentrée universitaire (2006/2007). La question se pose de savoir si le cahier des charges sera suffisamment précis pour remplacer la circulaire Lang de 2002.

Le problème des licenciements de PE2 est évoqué ainsi que la question des PE2 non validés et envoyés sur le terrain (allusion est faite sur ce point à la jurisprudence Parisot).

Il est signalé que l’académie de Lyon a mis en place, pour les PE2, un stage en responsabilité permettant aux stagiaires d’effectuer un stage filé en surnombre dans des écoles (statut de Maître Ressource Accueil MRA pour le titulaire en poste). Des expériences de travail en doublon sont évoquées (académie de Nancy Metz). La possibilité de mettre en place, pour les PE2, un stage filé est évoquée comme positive en terme de professionnalisation, ainsi que pour garantir un travail de qualité sur les mémoires professionnels, mais difficile à mettre en place. En outre, le risque d’aboutir à un mi-temps de service doit être pris en compte car cette configuration ne serait pas envisageable. A noter qu’un stage filé n’est pas forcément un stage en responsabilité.


2nd degré

Un consensus s‘établit au sein de la Conférence des directeurs pour refuser de voir augmenter le nombre d’heures de stage en responsabilité des PLC2. Les directeurs insistent sur l’importance de progresser sur les éléments professionnels (avec la diplomation). Une réflexion doit être menée, dans une démarche d’ouverture, afin de faire des propositions nouvelles à destination des T1 T2. Les IUFM ont les moyens en personnel de former beaucoup plus de monde en formation continue. Ce point doit être souligné.


  • Questionnaire du Sénat

Le questionnaire transmis par Philippe Richert, rapporteur pour avis du budget de l'enseignement scolaire, est soumis aux directeurs d’IUFM. Ce questionnaire devra être renseigné par 5 ou 6 IUFM suffisamment contrastés pour offrir une image globale pertinente de la diversité des situations. Les IUFM de Créteil, d’Amiens, des Pays de la Loire, de la Guadeloupe, de la Réunion, et de Montpellier, sont proposés. Leur réponse est attendue, au bureau de la CDIUFM, pour le lundi 19 septembre.

  • Le réseau éducation à la santé

P. Busuttil fait le point sur le dossier réseau des formateurs éducation à la santé. Les objectifs et l’organisation de ce réseau sont rappelés. La convention est en cours de finalisation entre la MILDT et l’IUFM d’Auvergne qui est l’établissement pilote du réseau. Une conférence téléphonique a eu lieu le 7 septembre entre les correspondants de l’ensemble du réseau. Un colloque est prévu au mois de mai à Paris, vraisemblablement à la MGEN sur le thème de l’éducation à la santé.


5- Informations et échanges 


  • Estimation des effectifs étudiants et stagiaires à la rentrée 2005/2006

Un état des lieux est dressé afin de donner une première estimation, à un instant T, des tendances nationales en matière d’effectifs pour l’année 2005-2006.

Ces premières estimations sont mises en parallèle avec les résultats de l’enquête SISE menée par le Ministère pour 2004-2005 (cf. tableaux en annexe).


Au vu des premiers chiffres, les tendances suivantes semblent se dessiner :

  • baisse des effectifs d’étudiants inscrits en première année pour préparer un concours de recrutement du second degré

  • augmentation des effectifs d’étudiants inscrits en première année pour préparer le concours de recrutement des professeurs des écoles

  • relative stabilité des effectifs de professeurs stagiaires (inscrits en 2ème année d'IUFM)



    • La question des DETU

Jacques Durand, président de la CDIUFM, demande à chaque directeur de transmettre au bureau de la conférence, pour le 1er octobre 2005 au plus tard, les indications concernant la situation de son établissement vis-à-vis de cette question.


  • Les mentions complémentaires concours du 2nd degré (JO 10 août 2005, circulaire 22 juillet 2005)

La dissymétrie entre les sciences et les lettres-langues est soulignée. Un débat est engagé sur la façon de prendre en charge la formation à ces mentions complémentaires (aménagement des emplois du temps pour permettre aux candidats de suivre les deux cursus, liberté laissée aux candidats de s’organiser, etc.). Il est établi qu’à ce jour, peu d’étudiants sont au courant de cette possibilité. S’agissant de ceux qui en ont connaissance, peu sont intéressés et beaucoup perçoivent ce que le dispositif suppose (remplacement des professeurs dans le second degré). Aucune position commune n’est adoptée sur cette question.


  • Les certifications complémentaires

Un rapide état des lieux est établi afin d’identifier les certifications complémentaires proposées dans les IUFM.



Certifications complémentaires

IUFM d’Aix-Marseille

aucune

IUFM d Alsace

aucune

IUFM d Amiens

aucune

IUFM d Aquitaine

Théâtre - Cinéma

IUFM d Auvergne

aucune

Basse-Normandie

aucune

IUFM de Bourgogne

aucune

IUFM de Bretagne

Théâtre – Cinéma – Audiovisuel - Langues

IUFM Champagne-Ardenne

FLE – DNL (module 24h + complète avec stage RI)

IUFM de Corse


IUFM de Créteil


IUFM de Franche-Comté

aucune

IUFM de Grenoble


IUFM de la Guadeloupe

aucune

IUFM de Guyane

aucune

IUFM de La Réunion

aucune actuellement

IUFM du Limousin

Situation non connue ?

IUFM de Lorraine

Cinéma – Audiovisuel – Langues - Théâtre (en projet) – Français, langues seconde (en pr.)

IUFM de Lyon

DNL et FLE

IUFM de la Martinique

aucune

IUFM de Midi-Pyrénées


IUFM de Montpellier

Module FLE pour départ étranger > en évolution

IUFM de Nice


IUFM Nord Pas-de-Calais

aucune

IUFM d Orléans Tours

Arts et DNL

IUFM du Pacifique


IUFM de Paris

DNL Maths – SVT – Hist.Géo en anglais, allemand, espagnol – FLE en 2006-2007

IUFM de Pays de la Loire

aucune

IUFM de Poitou-Charentes

Art (Cinéma – Audiovisuel) + DNL. Projet rentrée 2.. FLE (PLC et PE)

IUFM de Rouen


IUFM de Versailles



La formation des stagiaires en situation (JO 27 août 2005 , arrêté 22 août 2005, texte 32)

Une réflexion est engagée pour définir la façon dont les IUFM mettront en œuvre les dispositions du texte qui fixe à cinq semaines la formation des stagiaires en situation et préciser la position de principe à adopter sur cette question. Dans un certain nombre d’académies, des rencontres sont engagées avec les Rectorats pour préparer ces actions. Dans l’académie d’Amiens, les stagiaires en situation sont intégrés dans des groupes de PLC2, à l’IUFM de la Guadeloupe, un stage bloqué de 3 semaines est mis en place ainsi qu’un stage filé de 2 semaines. Après le nouveau concours PE, les mentions complémentaires, etc. la façon dont a été décidé le contenu de ce décret, sans concertation, est soulignée par les directeurs qui attendent toujours, par ailleurs, la note de service annoncée par la DPE.


La carte des formations

Il est proposé de relancer le groupe de travail sur la carte des formations, notamment sur des filières à petits effectifs. Il est rappelé qu’une entente entre les IUFM est possible pour la formation de 1ère année. Une enquête doit remonter par pôle sur les PLP et les CAPET.


Journée des directeurs et directeurs adjoints (14 octobre 2005)

La tenue d’une réunion nationale des directeurs adjoints, le 14 octobre 2005, dans les murs de l’IUFM de Paris (Molitor) est confirmée. Un courrier électronique sera adressé dans les jours qui suivront la conférence afin de solliciter les directeurs sur les propositions de thématiques. Quelques suggestions sont faites en séance :

- l’intégration ; la future la gouvernance ;

- la LOLF ;

- la reconversion professionnelle : information&nb