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Publié le 10 mars 2006

Groupe de travail SNESup sur les ALLSHS
(Arts Lettres Langues Sciences humaines et sociales)


Compte rendu n°2 (10 mars 2006)

Recherche et enseignement en sciences humaines – Durée des thèses - Démocratisation - Le poids du discours utilitaire - Quelle place pour les A.L.L.S.H.S. dans les pôles de compétitivité ? - Quelques réflexions sur le travail collectif.

Rappel : Les contributions sont à envoyer à isabellekrz@hotmail.com et maurice.zattara@snesup.fr (correspondant web).

Tous les éléments se trouvent dans le dossier thématique ALLSHS (Archives > Dossiers thématiques > Dossier ALLSHS) ou aessible directement à : navigation/general/page.php?ndoc=2037 .


Ce compte rendu n’ayant pas été revu fera l’objet de corrections lors de la prochaine réunion. Le dernier compte rendu ayant exclusivement porté sur les objectifs, j’ajoute à celui-ci les remarques ponctuelles présentées la fois précédente.

L’ordre du jour portant sur « Quelle place pour les A.L.L.S.H.S. dans les pôles de compétitivité ? » n’a été que partiellement tenu, car plusieurs participants venaient pour la première fois, ce qui a nécessité un tour de table plus libre. Il est de ce fait proposé de diviser les réunions en deux temps : une partie portant sur des questions générales ou des points d’informations ; une autre pour travailler les questions proposées à la réflexion.


I - Débat général

La question des méthodes, du statut ou de la nature des sciences humaines revient en permanence dans nos débats, rejoignant l’un des objectifs généraux assignés à ce groupe de travail : celui de réfléchir à ce qui définirait une « unité » des sciences humaines, de construire un argumentaire pour sortir de l’attitude défensive de « l’espèce en péril ». Je me borne, pour l’instant, à collecter / organiser les remarques, mais chacun des points suivants pourrait / devrait faire l’objet d’une étude approfondie : toutes les réactions sont bienvenues !


Recherche et enseignement en sciences humaines

- L’articulation enseignement / recherche dès la première année est souvent présentée comme une différence avec les sciences, où les premières années seraient plus « scolaires ». Il faut sans doute nuancer : en histoire de l’art, en sciences éco, par exemple, il semble que les premières années reposent sur des enseignements généraux de « mise à niveau ». Mais la « mise à niveau » constitue-t-elle la différence, ou celle-ci se joue-t-elle sur la manière dont les cours sont dispensés, dont les étudiants sont progressivement formés à « s’émanciper » ? Des cours fondés sur la recherche sont d’abord des cours fondés sur une approche critique des savoirs.

- La dimension critique est-elle le propre des A.L.L.S.H.S. ? Si la plupart des intervenant se reconnaît dans cette approche, plusieurs considèrent qu’elle est insuffisante : s’agit-il d’une fonction critique par rapport à la société ou / et par rapport aux savoirs eux-mêmes (dont l’histoire de ces savoirs, la conscience et l’analyse des ruptures épistémologiques, etc.) ? Mais n’est-ce pas vrai de toutes sciences ?
Réaffirmation que la recherche ne saurait se limiter à l’innovation et à la recherche appliquée.
Proposition de repenser l’université de manière plus épistémologique, en travaillant sur la transversalité des savoirs (et pas sur leur seule spécialisation).

- Durée des thèses [je développe ici une question qui n’a été qu’abordée] : en réponse à l’exigence du Ministère de parvenir à une durée optimale de 3 ans pour les thèses, une récente enquête de la C.P.-C.N.U. (voir la « Motion sur la durée des thèses » du 3 mars 2006, qui demande que la durée soit modulable, dans une limite minimum de trois ans, et maximun de six ans), a fait apparaître un décalage assez net : de 2,9 à 4,4 ans en sciences dures, la durée moyenne en 2004 se situe entre 3,4 et 4 ans en sciences du vivant et entre 4 et 6,2 ans en S.H.S. À côté de raisons liées aux exigences de la qualification (expérience requise de l’enseignement, publication de travaux) qui allongent sensiblement la durée des thèses, deux facteurs paraissent spécifiques pour expliquer la durée des thèses d’A.L.L.S.H.S.

• facteur « extérieur », l’absence de financement : il y a 15 % d´allocataires en sciences humaines contre 40 %, en moyenne, ailleurs. À quoi il faut ajouter la quasi absence de financements privés, et la rareté de financements du Ministère. D’où l’importance des postes d’A.T.E.R. pour les A.L.L.S.H.S. et le danger que constituerait leur diminution.
Contrepartie : les A.L.L.S.H.S. admettent beaucoup plus facilement le « retour vers la recherche ». Il faudrait je crois réfléchir sur cette approche différente, où la recherche ne relève pas forcément d’un « parcours » initial, mais peut apparaître comme le prolongement / parachèvement d’une profession (l’enseignement), voire comme un facteur d’épanouissement intellectuel personnel – avec tous les problèmes que cela fait naître : multiplication des thèses à partir du moment où elles ne sont pas déterminées par un financement et une place dans un labo, problème de débouchés, mais aussi de reconnaissance (y compris en termes d’aménagement des conditions de travail) pour les docteurs / chercheurs actifs sans poste dans le supérieur ou les grands organismes. Cette situation est peut-être en train de changer, avec le développement d’équipes qui pourrait progr essivement amener une situation analogue à celle des labos de sciences – mais, au-delà de l’amélioration des conditions de travail, souhaitons-nous ce renfermement ?
• facteurs « internes », la nature de l’objet de recherche : « En sciences humaines, les difficultés de l´accès et de la maîtrise des sources, les aléas du terrain et les spécificités de l´écriture et des argumentaires sont bien souvent des contraintes préliminaires à la réflexion du travail de thèse, qui peuvent occuper une durée importante en début de parcours. De même, dans les sciences qui demandent une accumulation de connaissances, fréquemment liée à des contraintes extérieures, comme les sciences du vivant, de la terre, ou de la santé, l’étape de recueil des données peut être relativement longue. Ces cas de figures ne sont pas comparables à ceux de thèses s’appuyant sur des données immédiatement disponibles et exploitables ou sur une expérimentation pouvant être conduite en dehors de toute contraintes extérieures. Ignorer ces différences conduirait dans certaines disciplines à proscrire tout travail de terrain ou tout sujet d’envergure nécessitant des données originales, et donc, de fait, à restreindre de nombreux champs de recherche. » (Motion de la C.P.-C.N.U.).


Démocratisation

L’impression selon laquelle le secteur A.L.L.S.H.S. recevrait l’essentiel des étudiants « dont on ne veut pas ailleurs » ou qui choisissent ces filières « par défaut » est assurément à pondérer par rapport à la première année en sciences, par exemple, mais aussi à l’interne. C’est globalement que se pose la question de l’orientation, de l’organisation d’une transition en première année, de la lutte contre l’échec, etc. Quelques pistes pour lancer un débat aussi difficile que nécessaire :
- quelle organisation en première année ? faut-il créer des filières adaptées ? À Paris III, par exemple, un projet d’enseignement des langues « par contrat » reviendrait à créer un enseignement alternatif pour les étudiants plus faibles, qui, sous une apparence sociale, conduirait de facto à un processus de sélection.
- quel impact sur les disciplines ? faut-il concevoir une première année moins spécialisée, permettant un temps d’adaptation ? Sur quel modèle (propédeutique ? majeure / mineure, comme le propose Rennes ?)


Le poids du discours utilitaire

Une ligne de partage se dessine entre certaines approches des sciences humaines faisant appel aux « sciences dures (en particulier mathématiques), ou encore celles qui se définissent comme sciences humaines « appliquées », et les autres : d’un côté, les sciences économiques, la sociologie, la géographie / infographie, la psychologie, les sciences cognitives, etc. considérées comme plus « sérieuses » (mais aussi, pour la plupart, plus récentes) ; de l’autre, les sciences humaines non utilitaires (les « humanités » ???).
Outre le poids grandissant des formations pour « non-spécialistes », le danger paraît bien l’utilisation générale qui pourrait être faite de cette approche : la réduction des sciences humaines à des compétences d’explication, voire d’accompagnement et de service, jusqu’à en faire les conditions de survie des A.L.L.S.H.S. Or ni les unes, ni les autres ne se réduisent à cette instrumentalisation – qui, de fait, semble prévaloir dans certaines programmations, depuis les projets de l’A.N.R., jusqu’aux axes proposés par certains C.P.E.R. (par exemple la valorisation du patrimoine régional, ou l’absence pure et simple de ligne A.L.L.S.H.S.), comme d’ailleurs dans certaines revues scientifiques, et dans les discours ministériels.

La question des spécialités croise celle des enseignements « de service », qui touchent particulièrement les A.L.L.S.H.S. (mais aussi, par exemple, les mathématiques ou l’informatique) : question de survie pour les disciplines ? Mais aussi conception d’ensemble dans laquelle les A.L.L.S.H.S. ne sont plus conçues que par rapport à une logique marchande (voir plus bas leur place dans les pôles).
Problème aussi de l’attribution de ces cours, ces enseignements étant généralement confiés à des P.R.A.G., voire à des chargés de cours, ce qui contribue aussi à fragiliser le statut d’enseignant-chercheur, alors même que les spécialistes défendent l’idée qu’aucune formation disciplinaire ne doit se limiter à une étroite spécialisation adaptée aux besoins des « non-spécialistes » (type « anglais pour juriste », par exemple).


C.P.G.E. & B.T.S.

Un texte est en préparation pour les aligner sur le système L.M.D. Michèle Lauton demande que le groupe l’aide à préparer des propositions pour le C.N.E.S.E.R. (je rappelle à cette occasion que le groupe A.L.L.S.H.S. a aussi pour fonction de nourrir les débats syndicaux et de fournir des arguments pour les prises de position syndicales).
- B.T.S. : sans doute 120 crédits (2 ans) si les étudiants réussissent leurs examens. Cela suppose aussi une convention lycée / université, pour permettre aux B.T.S. de passer en licence technologique.
- Classes préparatoires aux grandes écoles : le problème est moindre pour les C.P. scientifiques, dont la plupart des étudiants réussit un concours à la sortie. L’éventail étant moindre en A.L.L.S.H.S., le problème de l’équivalence se pose : les 120 crédits pourraient être validés pour ceux qui auront reçu validation par un conseil d’enseignants ? autre proposition : reconnaître les sous-admissibles pour obtenir d’office 120 crédits, et mettre en place un seuil par rapport au dernier admissible et au nombre de points. Faut-il accorder 180 crédits aux « cubes » ? proposition de plutôt demander des conventions avec les universités, dispensant les cubes de certains enseignements.


II - Quelle place pour les A.L.L.S.H.S. dans les pôles de compétitivité ?
1er échange (mars 2006)

• Les pôles de compétitivité étant conçus dans une logique économique, voire strictement marchande, seuls certains secteurs des A.L.L.S.H.S. y trouvent place. La logique des P.R.E.S. devrait être différente, mais les premiers résultats semblent montrer qu’il n’en est rien.

- Il n’y a pas de pôle de compétitivité centré sur les A.L.L.S.H.S., mais il y a des postes. Ceux-ci sont en général indépendants des équipes existantes, puisque les pôles peuvent demander des postes en fonction de leurs besoins propres.
Ceci suffit généralement à répondre que les A.L.L.S.H.S. ne sont évidemment pas exclues des pôles de compétitivité. Ceci témoigne pourtant du fait que les A.L.L.S.H.S. ne sont considérées que dans un rapport de dépendance, réduites à une fonction de « service », le plus souvent dans une approche utilitaire (« appliquée »).

- La logique des pôles ne correspond pas au fonctionnement de la recherche en A.L.L.S.H.S., qui repose plutôt sur une pratique de réseau. C’est d'ailleurs globalement une logique mise en place pour répondre à des crises (nécessité de développer l’international, de procéder à des regroupements), qui ne repose pas sur une logique de recherche.

- C’est d’autant plus étonnant que la dimension d’échanges (national et international) est une pratique courante en A.L.L.S.H.S. – plus, peut-être, qu’en sciences, et plus, sans doute, que leur inscription régionale : c’est bien ce dont on leur fait grief dans une politique de décentralisation, qui se résume trop souvent à un objectif de régionalisation. Or cette pratique devrait précisément imposer que les A.L.L.S.H.S. soient considérées comme vecteur international (et à ce titre aussi particulièrement financées par l’État).

• Les P.R.E.S. risquent de poser les mêmes problèmes : la logique de mutualisation fonctionne bien pour certaines questions administratives (par exemple le logement étudiant), éventuellement pour certains outils lourds. Aller plus loin risque de déboucher sur de l’utilitarisme, certaines disciplines étant réduites à des disciplines de service (langues française et étrangères, mais aussi par exemple mathématiques).

• Quelles réponses devons-nous faire ?
- refuser les pôles de compétitivité, parce qu’ils figent la pratique de la recherche ? (sachant que refuser peut aussi signifier perdre presque toute possibilité de financement)
- exiger des pôles spécifiques A.L.L.S.H.S., avec le danger qu’ils les instrumentalisent ?
- considérer que les A.L.L.S.H.S. ne peuvent y être que ponctuellement ? (peut-on alors demander un traitement spécifique ?)
Toute participation au débat est bienvenue !

• Le vrai problème est en fait celui de la logique de regroupement, et de l’équilibre à trouver entre logique thématique et logique géographique :
- risque d’exclusion de chercheurs (d’autant que les regroupements semblent également utilisés pour éliminer des collègues !)
- stérilisation de la recherche et mise en danger du lien enseignement / recherche : aggravé par la logique de l’adossement à la recherche (qui pose des problèmes de cohérence avec les besoins pédagogiques) et avec l’obligation d’appartenance à une équipe de son université, ce qui conduit de plus en plus à l’endogamie (en particulier au niveau PR).
- regroupements forcés de labos qui lamine les spécificités locales. Comme la visibilité de notre « rentabilité » n'est pas évidente (surtout pour les arts), c'est à un véritable dépeçage que nous assistons.
Pour autant, il ne s’agit pas de nier la nécessité de rapprochements, lorsque la même spécialité est assurée en plusieurs endroits dans la même ville ou la même région (les rapprochements peuvent alors être au contraire une manière de lutter contre la concurrence interne). Surtout, il ne s’agit pas de refuser la coopération, qui est enrichissante si elle est librement consentie, et construite sur des critères de recherches.

- Excursus : Les Maisons des Sciences de l’Homme (qui se sont constituées en Groupement d’intérêt scientifique en février 2006) : si la logique de départ n’était pas mauvaise, leur institutionnalisation soulève de nombreux problèmes. Les M.S.H. privilégient les équipes, et créent de ce fait leurs exclus ; leur statut est équivoque : ce sont souvent des U.M.R., qui fonctionnent le plus souvent en dehors des composantes des universités, donc sans transparence, ni contrôle démocratique et scientifique (problème que l’on va retrouver avec les P.R.E.S.) ; elles n’existent pas partout, mais drainent l’essentiel des crédits, avec des coûts budgétaires périphériques importants (gardiennage, réception, etc.) ; elles mettent parfois des outils à disposition, mais pas toujours.
Voir leur portail : http://www.msh-reseau.prd.fr


Quelques réflexions sur le travail collectif

- Reproche récurrent fait aujourd’hui aux A.L.L.S.H.S. : l’absence de travail collectif. Or cette critique repose en partie sur une méconnaissance des fonctionnements de la recherche en A.L.L.S.H.S., et sur une approche restrictive du travail en équipe.
De fait, le travail en équipe est fréquent : c’est le cas, en particulier, des grandes entreprises éditoriales, mais aussi, à plus petite échelle, de la préparation de colloques, par exemple. Néanmoins, toutes ces entreprises reposent, en amont, sur une recherche individuelle sans laquelle elles seraient inenvisageables, – recherche qui ne se fait pas nécessairement dans les locaux universitaires, mais en bibliothèques, ou chez soi.

- Les regroupements ne répondent souvent pas à une logique scientifique, mais institutionnelle (et qui n’apporte pas forcément plus de moyens financiers). Les équipes sont énormes, mais sans cohérence. Le maintien, à l’intérieur des équipes, de micro-groupes (axes, etc.) s’avère donc nécessaire, précisément pour maintenir un travail collectif. Mais l’obligation, dans bien des cas, de chercher des sujets transversaux, qui sont souvent les seuls à être financés, fragilise la recherche spécifique, même lorsqu’elle est collective.

- La logique des appels d’offre repose sur la concurrence plus que sur la collaboration : c’est peut-être une logique « d’innovation », mais est-ce une logique de recherche ?!

Plusieurs revendications découlent de ce constat :
- D’une part, résorber la pauvreté extrême des A.L.L.S.H.S. en termes de conditions de travail :
• développement des outils de travail sur place : bureaux, informatique performante, abonnements aux outils de recherche « en ligne » (par exemple accès, souvent payant, aux textes numérisés). Mais aussi, financement des bibliothèques universitaires (pas seulement en fonction des besoins des étudiants) et des bibliothèques de recherche pour les équipes.
• création de postes spécifiques à l’accompagnement et à la gestion de la recherche : IATOS et ITARF. En particulier, les besoins en ingénieurs de recherche sont manifestes : à l’heure actuelle, ils n’existent, dans le meilleur des cas, que dans les U.M.R. ou quand il y a des contrats. Un état des lieux est nécessaire, mais il est d’ores et déjà manifeste que le décalage est patent avec les laboratoires de sciences.
• financement de la mobilité pour recherche : financement des séjours de recherche ; développement des congés pour recherche.

- D’autre part, obtenir la reconnaissance d’un mode de travail spécifique :
• tout le travail de recherche ne peut être fait sur place : même les meilleures bibliothèques universitaires (et la France est très en retard de ce point de vue : cf. rapport 2005 de la Cour des compte : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/064000197/index.shtml) ne peuvent remplacer les bibliothèques de recherche, les fonds spéciaux (archives en particulier) ou les études de terrain, qui peuvent être à l’étranger.
Excursus : la licence dite « des 42 jours » : disposition qui remonte à la guerre d’Algérie et n’a jamais été supprimée. Elle est officiellement limitée aux séjours de recherche hors de France, cadre dans lequel elle est déjà parfois insuffisante ; mais elle tend à être considérée en même temps pour la France, ce qui réduit encore le temps imparti aux séjours à l’étranger.
• il existe des formes de travail différentes, qui sont toutes nécessaires et correspondent à différents moments de la recherche :
* un travail en équipe
* un travail en équipes « instables », répondant à des projets ponctuels (du type des G.D.R. du C.N.R.S.)
* un travail personnel qui nourrit le reste.
Le travail de type G.D.R. doit également faire l’objet d’un financement et d’un accompagnement en postes administratifs.

 

Isabelle Krzywkowski

 

 

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La prochaine réunion du groupe de travail SNESup sur les « ALLSHS »  se tiendra

vendredi 9 juin, 10H-12H30

au siège du SNESup

Ordre du jour :

- Les A.L.L.S.H.S. et la logique de regroupement (pôles de compétitivité, P.R.E.S., Écoles doctorales, macro-équipes, etc.).

- Informations et questions diverses, en particulier : premières réflexions   sur la professionnalisation en A.L.L.S.H.S.; établissement des questionnaires pour les différentes enquêtes que nous souhaitons mettre en  œuvre.

 

Toutes les contributions sont bienvenues dans l’intervalle pour préparer ce travail. Elles sont à adresser à : isabellekrz@hotmail.com.